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                      L'Ultime Prédateur

                      Partagez
                      vava
                      Felix Sotiras
                      groupe

                      Felix
                      Sotiras

                      Bjornsen

                      「 L'Ultime Prédateur 」


                      Quelle étrange rencontre que celle avec Bjornsen. En effet, les conditions de cet événement furent particulièrement étranges. Je me souviens que j'étais plus ou moins en pause après avoir purifié une forêt nefyrienne d'une de ses menaces. Je ne croyais pas vraiment qu'on ferait de nouveau appel à mes compétences de combat si tôt après cela. Bon, par chance personne ne savait pour mon implication dans la préservation de ladite forêt, mais ma réputation n'avait cessé de grossir auprès des événement du Fléau du désert, lorsque j’eus assuré la protection de Tarek. Je pense qu'il n'es pas innocent dans la propagation de ma réputation au sein même Akers. Il avait dû en parler vite fait, répandant les rumeurs d'un Val'ka enclin à aider les étrangers. Et cette rumeur avait réussi à atteindre les oreilles de mon client, Bjornsen. Les conditions exactes de la découverte de mon existence restent un mystère à mes yeux, mais la seule chose que je sus, c'est qu'un jour, je reçus une missive venant d'Akerys, transféré via des réseaux plus ou moins discret d'étranger en Val. Réseau supervisé par Tordun, un chef de clan qui avait pour objectif de faire revenir tous les étrangers dans leurs mondes, ou en tous cas à les virées de Val. On pourrait penser qu'il est paradoxal que se soit lui qui gère le réseau de courrier entre les étrangers de Val... Mais au final, il n'a rien de plus logique : ce réseau et vital, car si jamais l'on trouvait dans un autre monde le moyen de faire passer les étrangers, alors il aurait enfin un moyen de les virer de son monde. L'ironie, c'est que son plus grand soutient, donc moi, est en réalité un étranger se faisant passer pour un natif. S'il savait...

                      Donc, je reçus une étrange lettre. Un "contrat", plus ou moins. Le client, qui était resté anonyme dans sa lettre, avait fait par d sa volonté de traquer et tuer un être de chez nous, le Ygg'Safra, traductible en "Roi de la forêt". Cela m'interpella : les Ygg'Safra sont des êtres assez docile comparé au reste des créature de Val. Alors, ne vous méprenez pas, ils sont extrêmement territoriaux, mais ils sont calmes de nature. Cela s'explique par un fait simple : il fait partie des rares créatures pouvant faire face à un Val'ka. Comment ? Et bien avec un certain nombre de facteurs : leurs griffes acérées, pouvant traverser les métaux les plus résistants. Puis, leur fourrure, composée de poil flexible pour la tige et durcit au bout, faisant comme une armure à la fois solide et capable d'amortir les chocs. De plus, leur taille phénoménale, dépassant celle des Val'Ka, ne semblait pas réduire leurs réflexes et leur agilité. Mais ce qui les rendait vraiment menaçant, c'était leur corne, qui cachait en son sein une glande particulière, capable de récupérer l’électricité statique générée par la friction entre ses poils et de la stocker. Bien sûr, cela n'aurait aucun intérêt s'ils ne pouvaient pas libérer l'électricité ainsi emmagasinée dans des gerbes d'éclair d'une puissance conséquente. Ils sont tels des bijoux de la nature, ayant était conçut pour pallier à tous les problèmes lié à l'utilisation de l'électricité : leurs poils de surface agissant comme un isolant, le fait que leur patte sont conçut de sorte qu'il marche sur leurs griffes, supprimant la conduction entre le sol et le corps lors des tirs, mais, surtout, le fait que la corne ne fasse pas que libérer l’électricité en espérant qu'elle touche son ennemie. En effet, cette dernière, lorsque l'électricité doit être libérée, laisse apparaître une ouverture de laquelle est projeté une espèce de "balise électrique" biologique, composé du fer récupéré dans son alimentation et de suc produit dans ces glandes. Cela force l’électricité de suivre un chemin décrit par cette "balise". Pour ainsi dire, ce n'est pas un ennemi à prendre à la légère, même pour un Val'ka.

                      Ygg'Safra :


                      J'avoue, j’acceptai par curiosité. Je me demandais bien ce qu'un Akers pouvait faire d'une telle bête, surtout morte. Mais de toute manière, on m'offrait une rétribution monétaire, donc je n'avais pas vraiment de raison de refuser. Je fis renvoyer une lettre qui lui indiquait notre lieu de rendez-vous, l'entrée sud de la forêt de Val'Ygg. Là, je l'attendrais autour d'un bivouac improvisé et nous pourrons parler affaires. Pour être sûr que se soit lui mon destinataire, il devrait portait une tenue traditionnelle Akers, mais surtout, il devrait avoir au moins la moitié de ce qu'il voulait me payer sur lui. Au final, même si c'était un autre qui venait à sa place, je serais quand même payer donc bon, je m'en fichais. Une fois, cela fait, je pris les devant et décidait de m'avancer vers la forêt de notre destination, fin prêt à découvrir l'identité et la volonté de mon client.

                      vava
                      Bjornsen
                      groupe
                      Val'kako, un chasseur... LE chasseur que l’on me promettait. J’espère qu’il sera à la hauteur, l’argent qu’il réclame n’est pas un problème depuis ma dernière victime. Après quelque recherche et discussion, on me l'a décris comme quelqu’un d’amicale et d’expérimenter. Je suis curieux de voir ses méthodes.

                      Cela fait plusieurs mois que je cherche un bête dont la physiologie est susceptible d’améliorer ma condition plus ou moins électrifiante et instable. Biologiquement parlant son cadavre pourrait même me révéler comment améliorer mes pouvoirs. Mon corps brûle à petit feu, j’ai ultimement besoin de cet animal même si je dois détruire la planète pour ça.

                      L’air chaud de Solarri me pèse, mes vêtements ne sont pas conditionnés et je sue tout particulièrement. Je n’aime pas cette planète. L’humidité présente naturellement dans l’air sied particulières mes pouvoirs, la conductivité de mon électricité s’en trouvant fortement augmenté, une bonne chose quand on s’apprête à se battre.
                      Arrivant au point de rendez-vous, je remarque un homme attendant calmement, bizarrement, il ne porte pas les cicatrices habituelles des chasseurs. Mais la description du visage et de l’allure correspondent aux informations que je possède. Je l’interpelle de manière sobre.

                      « Mr.Val'kako, je présume ? »
                      vava
                      Felix Sotiras
                      groupe

                      Felix
                      Sotiras

                      Bjornsen

                      「 L'Ultime Prédateur 」


                      Je suis généralement patient, mais j'avoue que je n'aime pas attendre sans rien faire. A l'époque, je prenais mon temps libre à créer de nouveaux objets grâce à mes pouvoir, ou je prenais simplement du temps pour panser mes blessure. En tant que clone et possédant de surcroit le Cœur des Dryades, mon corps se régénère bien plus que ceux des humain normaux. Ainsi, malgré mes combats dantesque, ayant parfois fait tremblait un monde entier, j'ai la même apparence qu'un combattant des plus novice. Ironiquement, vue mon état de marchant ambulant "Val'ka", l'absence de blessure me donne une certaine présence. Après tout, un guerrier sans blessure est juste un poseur ou c'est un maitre de son art. Et quand on traverse le désert entourant Joug'mo plusieurs fois par mois, disons que l'on rentre très vite dans la seconde catégorie. Cependant, malgré tout cela, je me blessait quand même, et au final, ma régénération n'était pas plus rapide, juste plus complète. Enfin, dans mon bivouac, je préférais plutôt faire différent onguent, tonique ou autre potion utile pour évité que le combat se passe mal. e n'avais aucune idée de la puissance de mon client, mais le fait qu'il fasse appel à un Val'Ka impliquais une certaine faiblesse comparé à ceux qu'un Val'ka peut faire. alors autant prévenir que guérir.

                      Je ne fut pas plus surpris que ça par l'arrivé de mon client. J'étais tranquillement entrain de terminer un tonique simple à base d'herbe quand il m'interpela.

                      C'est moi même. Et vous avez de la chance que je sois assez sur de moi pour accepter une demande comme celle-ci.

                      Je finie le procédé nécessaire à la confection de ce tonique. Par chance, celui-ci n'impliquait aucune forme de magie, donc je ne risquait pas que l'on me découvre. Avec un calme olympien, je me retournais, doucement.

                      C'est que demandé à un Val'Ka de tuer sur son sol, surtout un monstre comme le Ygg'Safra, dans Val'Ygg, avec un étranger.... C'est beaucoup à prendre d'un coup. Surtout que je n'ai toujours pas ton nom, client.

                      Je finis mon tour pour dévoilé mon visage neutre mais sympathique.

                      Enfin... Tant que je reçois mon argent et que je n'ai pas à en tuer plus d'un, cela me va. Je n'aimerais pas m’attirer les foudres d'Ygg pour un étranger.

                      vava
                      Bjornsen
                      groupe
                      « Je m’excuse de ne pas m’être présenté. Je suis Yårmungtar Bjornsen, simple homme de science. »

                      Il est arrogant, et cela m’agace. Néanmoins, il semble connaître son sujet. Sa nature de « préservation » et de conscience à ne pas tuer plus que nécessaire démontre la connaissance de l’écosystème. Dommage, j’aime quand le sang coule.

                      L’absence de cicatrice m’intrigue de plus en plus, sa peau semble avoir la texture des nouveaux nés. Son visage contrairement au mien est beau et lisse. Pourtant, je ne perçois pas de sort d’illusion. Peut-être une régénération accrue ? Bref, je m’égare, mais je tient ça dans un coin de ma tête. Un prélèvement devra peut-être être effectué…

                      « J’ai ton argent comme convenu. Je ne souhaite pas la mort de cet animal uniquement pour but scientifique, si aucun autre animal ne nous attaque, il n’y aura qu’une seule victime. »

                      La science est une bonne excuse, les gens intelligents la comprenne. Cela permet de faire beaucoup de choses considérées comme "immoral" en ce simple nom.

                      « Je me dois néanmoins de vous prévenir, je n’ai pas le droit à l’échec. Soit je tue l’animal, soit je ne revient pas vivant, et je suis prêt à tout pour réussir. »
                      vava
                      Felix Sotiras
                      groupe

                      Felix
                      Sotiras

                      Bjornsen

                      「 L'Ultime Prédateur 」


                      Le ton de mon interlocuteur semblait un peu... Aigri. Je pense qu'il me prenait de haut parce qu'il était un érudit et moi juste, à ces yeux, qu'un Val'Ka stupide. Enfin, c’était assez classique, les étranges sont souvent sur le fil du rasoir face aux Val'Ka.... surement parce que ces derniers sont particulièrement agressif. Peu importe, je n'étais pas là pour me faire un amis, mais pour aider un client.

                      Bah, ce n'est pas si grave. Le plus important c'est que vous soyez le bon client.

                      J'essayais de rester le plus polie possible, tout en imposant quand même une certaine rigueur dans mon ton. Je n'étais pas là pour m'amuser, ni lui d'ailleurs, donc autant rester pro. Il montra d'ailleurs très vite son sérieux dans ces dires.

                      Tant qu'il y a l'argent, ça me va. Mais nous ne feront pas plus de victime que nécessaire Si l'on est attaqué, tu me laisses faire. Ou tu fuis, je m'en fiche. Mais la nature, ici, n'aime pas que l'on s'en prenne à ses habitants. Si tu veux éviter de vous retrouvez face à un de ses gardiens les plus féroces, je te conseille de te tenir à carreaux. Si tu considères avoir besoin de mon aide pour le Ygg'Safra, essayes de ne pas énerver les gardiens de cette forêt. Car je le dit de suite : quitte à refuser ton argent, si t'énerve la forêt, ce sera ton problème. Elle m'est trop précieuse pour que je me fâche avec. Je suis assez clair j'espère ?

                      C'était important qu'il comprenne que l'on parlais là d'une affaire de vie ou de mort, pas d'une simple lubie de ma part. Mais il avait l'air assez réglo et malgré l'étrangeté de sa position sur la mission, je ne put qu'acceptez ses propos.

                      Première règle d'une chasse : on met en jeu la vie de la bête, pas sa propre existence. Mais bon, j'ai compris, si on arrive pas à le trouver, tu sera dans la galère. Sur ce point, tu peux détresser : je suis un très bon chasseur.

                      Une vérité plus ou moins importante. Après tout, lorsqu'on sait que mes premières proie était soit des monstres géant ou des dieux... Cependant, je n'avais pas le temps de ressasser mon passé, j'avais un bivouac à lever. En ranger vite fait les affaires, je commençais à faire un topo.

                      La créature que nous chassons est à la fois mortelle et inoffensive. Les femelle sont vagabonde et sont quasiment impossible à croisé, mais de toute manière, elle sont bien trop agile pour être attaquer. On va devoir s'attaquer à un mâle. Les mâles sont très territoriaux, mais leur territoire se voit très facilement : il laisse de ses poils sur les arbres entourant son logis. Si on ne pose ne serait-ce qu'un pied dans son territoire, il nous attaquera. A partir de là, on improvisera avec le lieu. Mais peut importe la raison, on n'attaque aucune créature s'approchant du combat. Les Ygg'Safra sont fiers et fort, il repousseront pour nous les créatures se mêlant à notre combat. Et je sais que c'est une ouverture facile, mais on en les attaques pas à ce moment là : si tu le met en position de faiblesse, l'autre créature rentrera dans le combat en voyant la faiblesse du Safra.


                      J'avais enfin finie d’empaqueter mes affaires.

                      Quand nous aurons finie, tu le dépèceras sur place, je repousserais les charognard. Ce que tu ne prendra pas me reviendra selon les lois de la chasse, mais il faudra laisser au moins un peu de chair. Il faut rendre à la nature ce qui appartient à la nature.

                      Puis, avec un regard confiant, je me mis vers la direction de la forêt.

                      Bien, je pense que nous somme prêt !

                      Je fixai alors mon client afin de lui faire comprendre que c’était à lui de lancer l'expédition.

                      vava
                      Bjornsen
                      groupe
                      Je me suis trompé, je l’admets. Ce n’est pas un chasseur enfin du moins pas réellement. C’est un protecteur. S’il est là, c’est pour éviter que je mette à feu et à sang la forêt. Mais bon, il a déjà choisi ma proie, ça me rassure, je n’aurais pas à perdre mon temps.
                      Il est prêt à partir, je commence à ouvrir la marche, mais je reste à sa hauteur. Après tout, c’est lui le chasseur.

                      « Allons-y. »

                      Dis-je d’une façon calme mais ferme.
                      Je sentais l’air pesant sur mon corps, mes bottes s’appuyant sur une terre à la fois ferme et glissante. Des feuilles passent en permanence sur mon visage. Mon œil provenant de Solarii à du mal à détecter des traces de magie. Je le modifierais plus tard pour éviter ce genre de situation dû aux climats à l’avenir.
                      Il à explicitement posé les termes du contrat, un seul mort, ni plus – ni moins. J’aime quand c’est clair.

                      Nous marchons maintenant depuis vingt minutes, et les questions me brûlent sur les lèvres. Un oiseau passe de branches en branches en fond. Je l'entend sans le voir.
                      Autant aller droit au but, il commence à m’intriguer plus que la bête que nous chassons qui est pourtant nécessaire à ma survie.

                      « Depuis combien de temp chasse-tu, et surtout comment à tu fais pour rester aussi... intact ? Je t’avoue que parierais bien mon deuxième œil que tu ne viens pas réellement de Val, tu as leur attitude, mais pas la morphologie. »

                      Je continue à le suivre et reprends ma respiration pour une autre question.

                      « Tes connaissances sont nombreuses, à vu de nez, je dirais que tu en sais plus sur la chasse et l’écosystème que les vieux chasseurs que j’ai entendus en arrivant ici. Pourtant, tu n’as pas de rides ou de cicatrices. »

                      Beaucoup de questions d’un coup et surtout personnelles, je sais que la plupart des gens sont récalcitrants à ce genre de discussion, mais je DOIS savoir, surtout si on chasse une bête qui fait sûrement deux à trois fois ma taille. Je ne suis pas réellement taillé pour les efforts physiques alors je préfère savoir à qui j’ai réellement à faire, surtout dans mon état. Je n’ose pas regarder sa tête.

                      « Tu n’es pas obligé de me dire la vérité, je suis simplement curieux. Après tout, mon objectif principal reste la bête. Mais je souhaiterais savoir à qui j’ai réellement à faire si je mets ma vie en jeu sur une planète dont je ne sais rien. »

                      Le quelques secondes qui passèrent en attendant sa réponse me semblèrent extraordinairement longues. SI longues que le chant ambiant des oiseaux devint à mes oreilles une longue tirade.
                      vava
                      Felix Sotiras
                      groupe

                      Felix
                      Sotiras

                      Bjornsen

                      「 L'Ultime Prédateur 」


                      Alors que nous nous dirigions vers le lieu de chasse, mon client ne put s’empêcher de mettre les doigts dans un sujet complexe. Ma couverture, aussi solide que friable, une de mes plus grandes forces et plus dangereuse faiblesse. Je pouvais comprendre qu'il avait envie d'en savoir plus sur moi, mais je ne pouvais que lui sortir ce que tous savait déjà. Après qu'il eu finis de parler, je laissé un vide, afin d'être sur qu'il est finie de me questionner.

                      T'es pas le premier à me le dire. Et tu seras surement pas le dernier. Je suis un peu particulier.

                      Je continuais à marcher nonchalamment

                      Je suis un malformé. Mes parents m'ont abandonné à la naissance, incapable de me tuer, comme le chef de clan avait décidé.
                      .

                      Je restait assez neutre dans mon ton. Vue l'age que l'on pouvait me donner, cette histoire commençait à dater un peu.

                      J'ai était jeté dans le désert entourant ce qui est aujourd'hui Joug'Mo. J'aurais dut être un délicieux morceau de viandes pour les animaux, mais une Val'Mar'ko me trouva et me recueillit. Elle n'avais pas la possibilité d'enfanter, et de me voir si démunie, elle décida de me recueillir. J'étais son fils par procuration. On avait une relation complexe, mais on s'aimait bien. Je l'appelais "maman", elle m'appelait "fiston"... Le classique quoi.

                      Je continuait à marcher, toujours autant neutre.

                      En grandissant, ma force se fit ressentir. Je n'étais pas aussi démunie que l'on aurait put croire. Comme elle n'avais aucune idée des coutume pour élever un enfant, elle m'éleva comme elle le fut elle-même. Elle m'apprit à toujours planifier, à être toujours sur le qui-vive, à avoir toujours une longueur d'avance sur mon ennemie. Et j'étais bon élève. C'est pour ça que je n'ai pas autant de blessure que ça. J'en ai reçut, mais elles étaient bénignes. Je ne suis pas un bon chasseur pour rien. Mon nom, Val'kako, met en avatn cette dualité me définissant : la force d'un Val'Mar'Ka et la stratégie d'une Val'Mar'Ka, tout ça dans un être qui ne ressemble en rien à un Val'ka.

                      Je marquais une petite pose, le temps de passer un endroit particulièrement contraignant puis je repris.

                      Quand à mes connaissance... J'ai appris de ma mère à toujours tout noter dans ma tête. C'est important pour survivre. Je suis qu'un simple marchand ambulant au final. Je dois être bien plus attentif et vigilant que les autres Val'Ka. Les vieux sont sage, mais ce qui survivent le plus longtemps dans le Val sont soit devenue des religieux inatteignable, soit sont des lâches ayant fuit tout leurs combat, soit des guerriers invaincue. Mais dans les trois cas, soit il est impossible d'avoir leur expertise, soit il n'en ont pas vraiment. Si tu veux en apprendre plus sur ce monde, c'est à ceux qui en fond leur grenier qu'il faut parler. Tout bon marchand itinérant te dira la même chose que moi. Je tient d'ailleurs beaucoup de mon savoir de mes confrères.

                      Cela était vraie. Les Marchands itinérants, de par la dangerosité de leur métier, en savait souvent bien plus sur les mœurs et les coutumes de chaque tribus, sur la nature ou sur les animaux.

                      C'est une question de survie au final : parce qu'on est souvent porteur de nombreuse ressources rares, nous devenons la cible des prédateurs les plus téméraires ou des brigands. Savoir est une arme qui fait la différence entre la vie et la mort dans ma profession, et c'est pourquoi les marchand préfère s'installer à Joug'Mo.

                      Je continuais à marcher, calmement, tout en ne changeant pas mon ton. Puis, soudain, je m’arrêtai net.

                      On est arrivé !

                      Devant nous, un arbre marqué des poils d'un Ygg'Safra, indiquait qu'il était bientôt l'heure de chasser.

                      vava
                      Bjornsen
                      groupe
                      Brusquement, il s’arrêta net. Je trébucha et manqua de m’écraser sur le sol. S’il ne m’avait pas annoncé la bonne nouvelle je crois que je l’aurais insulté. Mais son annonce me fit oublier ce léger incident. Nous y sommes, le pelage présent sur l’arbre était effectivement statique et la couleur correspondait à la bête décrite un peu plus tôt par Val'kako. L’animal avait dû la perdre en courant, je ne voyais pas d’autre explication logique.

                      Je mis les réponses de mon compagnon dans un coin de ma tête, son explication était crédible. La rapidité avec laquelle il m’a amené au terrain de chasse confirmait son histoire et le prix onéreux qu’il réclamait.

                      D’un coup, c’est comme s’il n’y avait plus de sons, plus de forêt ambiante, plus de vent glissant sur ma peau. J’étais complétement obnubilé par ce misérable morceau de poils qui à lui seul me faisait revivre. L’adrénaline avait emporté ces détails que mon corps entier considérait à cet instant comme futile.

                      « Enfin ! Nous y sommes ... »

                      Balbutié-je.

                      « Il est passé par là… »

                      Je l’avoue, j’ai pendant quelques secondes un peu le contrôle de moi-même. Quelque étincelés discrètes sortaient de mes doigts. Mais ces mois de travail avaient finalement payé. Le sang allait couler.

                      Je repris mes esprits quand mon maigre corps, affaiblit dû à mes expériences multiples, me picota la colonne vertébrale de bas en haut. Face à cette douleur toujours inattendue, je sortis ma flasque d’alcool de la seconde poche de ma ceinture et en bu une gorgée salvatrice pour me calmer. Je devais reconnaître que Val savait y faire en alcool.

                      Malgré ce morceau de poil, mes connaissances en chasse restaient toujours proche de zéro. Mes jambes, toujours tremblantes d’excitation se tournèrent vers mon guide.

                      « Par où allons-nous et pour combien de temps en avons-nous ? Quelle sera la stratégie à adopter si nous rencontrons la bête ? »

                      Des questions, toujours des questions. J’en ai toujours plus, tout le temps ou que j’aille. Mais cette fois-ci, ma figure habituellement impassible, trahissait ce que j’étais. Mon sourire était carnassier, ma respiration haletante, mon œil avide de sang. Mon visage tout entier était celui d’un homme prêt à tuer, non… À chasser.


                      L'Ultime Prédateur 1792562014



                      vava
                      Felix Sotiras
                      groupe

                      Felix
                      Sotiras

                      Bjornsen

                      「 L'Ultime Prédateur 」


                      Arrivé sur le lieu, je me permis un arrêt brusque qui mit mon compagnon dans une situation complexe, entre l'inconfort et la chute. Enfin, rien de bien grave au final, vue que la découverte de ce poil sembla le mettre dans une forme d'extase. Trop concentré par la confection d'un plan, je laisser mon client profité de son étrange joie éphémère. Cependant, il se tourna à nouveau vers moi pour me demander le détails de notre stratégie.

                      Hum. Pour commencer, nous allons devoir poser le pied dans le territoire de la bête, puis cette dernière va essayer de nous chasser, nous n'aurons qu'à trouvé un endroit qui convient le mieux pour ce battre contre la bête, avec beaucoup de couvert et des hauteurs, et nous aurons un avantages tactiques. Le mieux serais de privilégié la pierre, vue que ses jet électriques peuvent transpercé un arbre avec une certaine aise. Si la bête ne nous trouve pas vite, nous pouvons même poser quelques pièges rudimentaires. quand au temps que nous aurons, laissez moi voir le poil !

                      Je me rapproché du morceau de fourrure coincé dans le grand arbre. Cette espèce marque très souvent son territoire et fais des rondes assez fréquente. Leur poils sont habituellement chargé d'électricité, qui leur donne une belle couleur vive, mais alors que le temps passe, le poil se ternie alors que la charge se vide. Vue la couleur de la touffe, encore toute vive, il devait être passé il y a une heure.

                      C'est ce que je me dit avant de voir une chose qui m'interpella. Un petit arc électrique.

                      Hein... Mais ça ne fait pas de sens, il ne devrais pas rester assez de puissance pour...

                      Je compris immédiatement. Je me tournait vers Bjornsen et hurlait :

                      C'EST UN PIÈGE !!! COu...

                      Une forme énorme passa devant Bjorn et me percuta de plein fouet, me projetant avec force.


                      Je n'avais pas put me sortir de sa route, mais j'avais put positionner mes bras de sortes à ce que je puisse plus facilement encaisser le coup. Mais le mastodonte me percuta avec une telle force que je ne put rien y faire : je fut projeter à travers les arbres, ma gardes brisait, mes bras battant et mon corps sans contrôle. Mon bras droit percuta un arbre de plein fouet, ralentissant mon vol, mais le brisant au passage, dans un bruit d'os broyés. Et comme si cela ne suffisait pas, je fut stopper par la rencontre entre mon dos et le tronc d'un noble Fagacée, manquant de me briser la colonne vertébrale. Heureusement que je suis plus résistant qu'un humain lambda... Tombé au sol, je savais que la bête allez venir m'achever, à part si mon compagnon avait tenté d'attirer son attention. Je connais les types dans son genre : tu leur dit de fuir mais il ne t'écoute pas, ou trop tard... Donc même s'il n'était pas entrain de fuir, je devais me relever pour aider Bjorn, ou pour m'aider moi-même.

                      Je n'avais pas de temps à perdre avec un bras brisé. J'allais encore devoir utiliser mes précieuse potions de mon monde. Enfin, pour le cas présent, il s'agissait d'une flasque de "Sang d'os", concocter à partir des reste des guerriers squelette trouvable dans les profondeur de Terraria. La capacité qu'ont leurs os à se régénérer tel la chair peut, avec les bon ingrédient, donner un liquide capable de réparer le membre le plus détruit. Seul défaut : ça fait un mal de chien et n'a aucun effet sur la chair. ce qui veut dire que les os se déplace en dessous sans faire gaffe à si ça va ouvrir la chair ou non. Heureusement, les muscles ne sont pas affecté par cet inconvénient. Je fis alors apparaitre la flasque dans ma main et l'éclaté sur mon bras. Les débris de verres magiques se dissolvaient tandis que le liquide s'enfonçant dans ma chair atteint mes os. Comme prévue, j’eus le droit au déchirement cutané, tandis que je me relevais, essayant d'ignorer la douleur. Je n'avais plus le temps, je devais retrouver Bjorn, ou fuir cette créature !

                      vava
                      Bjornsen
                      groupe
                      Val'kako hurla, dans mon adrénaline, je ne compris mot de ce qu’il dit. Une forme indistincte passa devant moi. Un choc sourd se produisit et mon compagnon disparut de mon champ de vision. Par habitude, je lâche instinctivement une de mes balises sur le sol.

                      Une goutte de sueur coula sur mon front, et d’un coup, la peur s’est emparée de moi. Je ne suis pas un réel combattant et j’attendais beaucoup de mon guide.

                      Je fis pointer ma tête naturellement vers la direction prise par cette chose. L’impact avait projeté Val'kako au travers de plusieurs arbres, il gis au bout de ce chemin créé par la force, j’entraperçois une petite fiole à sa main. Mais, plus important encore, devant moi se dresse un spectacle magnifique et terrifiant. De dos, on distinguait parfaitement les lignes électriques que parcourant les poils de cette masse de muscles.

                      Qu’importe, la bête ne regarde pas du bon côté, c’est une occasion rêvée pour la tuer. Au moment où je m’apprête à bouger, mes jambes sont comme paralysées. Impossible de les bouger, comme si elles pesaient une tonne. Mon corps tout entier refusa de bouger sous l’effet de la peur.

                      Lentement, la bête se retourna, son regard perçant et sa corne menaçante acheva de me clouer sur place. Je prends mon coutelât et avec toute la volonté qu’il me reste, je m’entaille la jambe droite. La plaie produisit une douleur intense qui prit la place de ma peur. Immédiatement, mes jambes bougèrent de nouveau, vite, il ne faut pas perdre de temps.

                      Par Instinct meurtrier je me téléporte au-dessus de la bête et tente de le trancher au niveau de la nuque. Un endroit sensible pour tous les mammifères.

                      « Hein ? »

                      Je vis la bête une seconde en dessous de moi puis elle disparut, je me retrouve dans les airs, au-dessus du vide, elle ne m’avait pas oubliée cette sale bestiole. Je le vis se décaler subrepticement sur la droite. Je me re-téléporte à mon point de départ à l’aide ma balise. Dorénavant, la bête me fait face, et j’ai perdu l’effet de surprise.

                      « Merde. »

                      Je ne peux me téléporter qu’une fois de plus dans une portée réduite ainsi qu'à la balise qui se trouve malheureusement sous mes pieds. Je doute pouvoir compter sur mon guide et la fuite m’est inaccessible.

                      « Double merde ».
                      vava
                      Felix Sotiras
                      groupe

                      Felix
                      Sotiras

                      Bjornsen

                      「 L'Ultime Prédateur 」


                      Tandis que mon bras pissait le sang, je voyait devant moi les actions de mon compagnon d'infortune. Il s'était taillé dans la chair pour sortir de sa transe apeuré, une excellente idée dans le cas présent. Il semblait vouloir avoir la créature de vitesse en utilisant la téléportation... Mais c'était impossible. Elle avait de bien trop puissant réflexe. Sa prise d'initiative prit fin lorsqu'il fut face à la créature. Il se regardait dans les yeux avec intensité. La créature le juger, et il était peu probable qu'il l'épargne en le regardant. Je n'avais pas plus le choix... Je devais agir. Je saisis mon cimeterre de ma main gauche, et je sortie, dans la main raccroché à l'épave déchiqueté de mon seul bras en chair, un vieil artéfact de mon monde. Une petite patate de métal, ovale et carrelé. Au niveau de sa partie "haute" se trouvait une espèce de manche, ou de protubérance brisant l'harmonie de cet objet. Oui, j'allais utilisais une grenade. Sans hésité je tandis mon bras, prêt à lancer la grenade, mais je commençais en même temps à courir, tout en hurlant. Je dégoupillait alors l'arme, tandis que je m’approchait de la bête qui se désintéressa de Bjorn l'histoire d'un instant. J'attendis le bon moment et, passant par la droite de mon commendataire, je fit passer la grenade sous ses jambes afin qu'elle roule jusqu'au niveau de la tête de la créature face à nous. Cela ne suffirait pas à la tuer, mais ça la sonnerait pour sûr. Dans la même foulé, j'attrapais Bjornsen par le bras et le tirait vers moi, afin qu'il ne subissent pas l'explosion.

                      L'explosion se fit ressentir et entendre tandis que je reculais, tirant Bjorn. Je manquais de trébucher avec le souffle, mais utilisant mon cimeterre comme contre poids, j’évitai de tomber.

                      On a peu de temps. Soit on fuit, soit on se bat. Tu décides.

                      Me tournant vers mon acheteur, mon regard était on ne peu plus sérieux.

                      vava
                      groupe
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