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                      Un nouvel objectif

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                      vava
                      Katarina sin miedo
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                      Vivre avec  
                      Solo





                      C'est quoi c'est endroit sombre ? T'es où là ? Tu sens comme une atmosphère lugubre. Comment tu es arrivée ici ? Tu ne te souviens de rien...  Tu regarde autour de toi, des cris d'agonie te parviennent. Gardant ton sang froid, tu commences par froncer les sourcils. Tu as beau faire travailler ta mémoire,  impossible de savoir ce qu'est tout ce bordel... mais ces cris évoquent quelque chose en toi... comme... comme si... tu les avais déjà entendu... mais vu que leur propriétaire sont probablement en train de mourir, il est impossible que tu les connaissent... pourquoi ils te semblent si familier...

                      Bordel... sussure-tu avant de sortir ton sabre de son étui.

                      Tu décide de te laisser guider par les cris. Tu dois savoir ce qui s'y trame. L'endroit est toujours obscure et ta main se fait plus serré sur ton sabre au fur et à mesure que tu t'approche prudemment du son. Au bout de quelques minute à marcher lentement, soudainement, un éclat lumineux surgit derrière toi, comme une lampe qu'on allumerait. Tu te retournes d'un mouvement rapide, prête à te battre, et tu vois en directe Mélanie se faire transpercer le coeur, avant même que tu ne puisse faire quoi que ce soit. Le temps que tu lâche un

                      NAAAAAAN

                      tonitruant et colérique, quelque chose te tombe dessus, te paralysant. Tu lâches ton sabre et l'endroit s'éclaire d'un coup. Tu reconnais l'arène de la tribu de Val. Une foule de souvenirs atroces, d'image sanglante, de cris strident remonte en toi. Non, pas encore ça ! Pouquoi ?!??  tu aperçois du coin de l'oeil quelque chose de pointu foncer sur toi. Tu te débats et juste avant qu'elle ne t'atteigne, tout s'éteint.

                      Ton corps se redresse d'un coup, inspirant bruyamment de peur sur ton lit. Ton souffle se fait un peu saccadé et tu constate que ton front est mouillé. Il te faut quelques secondes pour t'apaiser et réaliser que pour la troisième fois d'affilée, tu as refait ce rêve.



                      Tu laisse l'adrénaline retomber mais un sentiment d'agacement te prend... pendant combien de temps tu vas encore repenser à ça ? Très vite, ton corps te rappelle tes nombreuse blessures, t'arrachant une petite grimace en prime. Plongeant doucement ta tête dans tes mains en soupirant, tu te frottes un peu nerveusement le visage, essuie la sueur présente, et finis par promener ton regard autour de toi. La pièce est vide. Tu profites du silence pour repenser à ton réveil ici même il y a un mois de cela. Tu étais dans un bien triste état, le corps ciselé de blessure que tu ne saurais définir tant ta connaissance en anatomie tend vers 0. Les gens qui t'ont recueilli ont bien essayé de t'expliquer à ton réveil, mais tu n'avais rien compris. Il n'avaient pas vraiment conscience de tes origines moyenâgeuse, et c'est Mélanie qui une fois toutes les deux, t'avaient brièvement appris que vos deux corps étaient énormément affaibli par vos mois d'esclavage. À tel point que qu'il te manquait des trucs dans le corps pour aller bien. Du coup c'est pour ça que quand tu avais essayé de te mettre debout, tu étais tout de suite retombée. Tu n'avais plus assez de force.

                      Les gens qui habitaient ici t'avaient alors aidé à reprendre des forces, en t'enroulant des trucs blancs autour de tes blessures les plus profondes, et en te faisant manger plein de trucs plus ou moins dégueulasses, mais efficaces. Tu avais appris bien plus tard, qu'en fait tu étais à HOPE mais pas tout a fait. Quand à ce nom tu t'étais énervée, la soignante qui l'avait prononcé s'était empressé de préciser que ce n'était pas le HOPE où y avait les machines vénères et les grosses pierres venus du ciel, mais juste une sorte d'annexe, comme un petit morceaux de puzzle. On y trouvait de la technologie, mais beaucoup moins que sur le vaisseau mère. En d'autres mots, ce n'était qu'une base.

                      Tu bois un peu d'eau dans un récipient verticale posé sur une table à côté de ton lit, et tu remarques qu'il fait encore nuit dehors. Tu te demandes alors pourquoi Mélanie ne dort pas. Elle a aussi été emmerdé dans ton sommeil ? Tu décides alors d'aller faire quelques pas à l'extérieur pour la chercher. Tu sais que depuis une semaine, tu peux te lever, mais que tu ne dois pas encore en faire trop. Tu prends alors bien le temps de te remettre en position debout, et de trouver un équilibre, avant de repérer le paquet d'allumette sur la table de ton amie. Tu t'en empare et prend aussi une bougie présente dans un tiroir. Apparemment ça crame bien ça et ça fait de la lumière. Pratique...

                      Tu l'allumes et sort de la chambre. ne pensant même pas à allumer les lampes... ben ouais t'es pas habituée à l'électricité... c'est à la bougie que tu t'éclaires dans les couloirs...

                      vava
                      Katarina sin miedo
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                      Séquelle  
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                      Pas après pas, tout en cherchant ton amie, tu te mets à penser. Les rêves sont encore pour toi une source de mystères infinis. Tu ne sais pas d'où ils viennent, s'ils sont réels, si ce sont les grands esprits qui les déposent devant tes yeux pendant la nuit. Tu sais juste qu'ils viennent quand tu dors et que tu n'as pas vraiment vécu ce qu'il s'y est passé. Ce que tu n'aimes pas trop ces temps c'est qu'ils racontent tous les mêmes histoires et qu'ils sont stressant. Il n'y a pas beaucoup de nuit où tu as regardé quelque chose d'agréable. Même quand tu étais esclave chez toi il y a des années, tu avais de belles images devant les yeux... pourquoi les esprits t'offrent que des trucs tristes ces dernières nuits ? Tu as plutôt besoin de trucs cool non ?

                      Tu es stoppée dans tes pensées par des pleurs étouffés. Tu lèves ta bougie dans la direction du bruit et tu t'avances. Il ne te faut pas longtemps pour reconnaître qui est assis par terre, appuyé sur un des murs du couloir.

                      Mélanie, c'est toi ? ça va ?

                      Elle a un sursaut, puis te reconnaît, mais ne te répond pas, se recroquevillant plus sur elle-même. Encore un peu l'esprit endormi, tu ne comprends pas pourquoi elle dit rien. Elle t'as pas entendu ? Non... elle a sursauté donc elle t'as bel et bien entendue... Tu te penches pour poser la bougie au sol, dans l'intention de t'asseoir vers elle pour causer, et là elle te sort.

                      Ne m'approche pas !

                      Tu t'arrête dans ton geste et tu la regarde, les sourcils froncés.

                      Pourquoi ?

                      Un bref silence s'installe et la réplique résonne enfin.

                      Rien, va te recoucher...

                      Tu soupires. T'es pas connu pour ta patience, et encore moins quand tu comprends pas un truc. Que tu pige pas un truc de technologie passe encore, mais là, ça commence à t'agacer.

                      J'ai pas sommeil, et je suis venu pour savoir où t'étais alors tu vas baisser d'un ton. Si tu veux pas que je m'approche parce-que ma tronche te reviens pas, autant le dire tout de suite...

                      Mais non c'est pas ça...

                      Alors quoi ?

                      Un nouveau silence s'installe. Tu es sur le point de monter d'un cran le ton de ta voix quand tu entends.

                      J'ai peur...

                      Tu hausses un sourcil. De quoi peut-elle avoir peur... vous êtes plus chez ce trou du cul de Takald et y a pas l'air d'avoir de menace autour de vous. Alors qu'est-ce qu'il peut lui foutre les chocotte ?

                      J'arrête pas de faire un rêve traumatisant qui me rappelle nos mois à Val, et je supporte plus de penser que ça pourrait nous arriver une nouvelle fois... du coup je flippe...  et j'ai l'impression que je te porte la poisse...

                      Un nouveau soupir sort de tes poumons et malgré son avertissement, tu pose la bouge par terre et t'assied à côté d'elle alors qu'elle se tourne légèrement dos à toi.

                      Tu t'en fais pour rien Mélanie. Déjà t'y es pour rien si je me suis fait chopée. J'ai voulu aider un gars et j'ai pris sa place c'est tout...  Pis moi aussi je fais des rêves mais on s'en fout c'est pas arrivé pour de vrai... ça annonce pas ce qui va arriver...

                      ça a pas l'air de la convaincre, mais bon t'es pas née psy, t'es née paysanne de deux siècles d'évolution de retard, du coup ça fait pas pareil... Ton bras appuyé sur le genou. T'ose pas trop lui dire que pour toi c'est la deuxième fois que tu tombes esclave parce-que tu sais que c'est ce qu'elle redoute. Tu as alors l'idée de lui parler de l'idée qui a germé dans ton petit esprit simpliste pendant ton mois de convalescence.

                      Pis tu sais, pour plus se faire choper, le mieux c'est d'être plus forte qu'avant, encore plus forte. Et je crois que cet endroit peut nous aider...
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