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Qu’est-ce que l’OmniSearch ?

L’OmniSearch est un outil créé par le Staff qui recense absolument tous les sujets nécessaires à la compréhension et à la vie du forum. Il a pour but de faciliter votre navigation, notamment grâce à sa barre de recherche.On peut accéder à l’OmniSearch de plusieurs façons :

     
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                      vava
                      Ren
                      groupe
                      Une douce chaleur caressait sa peau blanche, tandis que le soleil auréolait la ville de sa présence. Le sol était chaud, l’odeur du champs et des fleurs étaient remplacé par d’autres plus particulières. Le silence de la nature et le son du feuillage des arbres, étaient mis de côté, laissant place à la cacophonie ambulante des voix et du bruit des véhicules en tout genre.
                      Le réveil était brutal et la surprise semblait totale pour la jeune lame. Un endroit remplit de constructions étranges, des chariots en fer pouvant voler et sans même être aidé par des chevaux, des hommes et des femmes en tenue bizarre ou ayant des coiffures plus que douteux.
                      Cette ville, ce paysage, était une énorme claque pour le nouveau né. Lui qui avait des souvenirs de bâtiments faits de bois et de tuile, des pagodes ou du sol fait de terre et de pierre, ce qui se montrait devant lui était presque irréel, à un point même où il se demandait d’être encore de ce monde.

                      « Où suis-je ? » Tel fut sa première question.

                      Le pendentif qu’il tenait dans sa main avait brillé d’une grande et forte lumière, quelques instants plutôt, avant de l’éblouir et de lui faire perdre connaissance.
                      Le non-vivant resta perplexe devant se déroulement inattendu, cherchant désespérément des réponses à ses questions.
                      Debout sur un toit, il n’avait même pas remarqué que son petit cul blanc et sa virilité prenaient un bol d’air lorsque son ventre commença à réclamer.
                      Ren avait beau être une lame, il avait maintenant un corps et des besoins primaires et malgré cette expérience hors du commun, ce n’était pas la surprise qui le nourrira.
                      Ce sentiment de faim était naturel pour lui, en dépit du fait qu’il venait de naître il y à peine 20 cycles jours et nuits de cela. Pourtant, le garçon ne se posait pas d’interrogation, trouvant cela normal, instinctif même. La mémoire de son propriétaire l’aidant à subvenir à ses besoins en terme d’éducation basique.

                      Il chercha, ici et là, ce qui pouvait sembler à de la nourriture ou un endroit pouvant en garder. Le non-mort termina par trouver un balcon dont il se précipita afin de continuer sa quête.
                      La fenêtre ouverte, il pénétra à l’intérieur d’une salle clairement en manque de rangement.
                      L’épée n’était pas plus intriguée par ce dépotoir privatisé, beaucoup plus enclin à détecter quelque chose pouvant se mettre sur la dent.

                      L’épéiste ouvrit tous les tiroirs possibles, du plus petit au plus grand, découvrant maintes choses inutiles pour sa personne, les jetant ensuite sur le sol tout en récidivant. Des peluches, des tenues en tout genre, des capsules,...
                      Si quelqu’un entrait dés maintenant, il hurlerait ou exclamerait son mécontentement devant ce carnage monumental. Néanmoins, le garçon ne se sentait pas plus concerné par le fait qu’il ai effectué un crime, ni même que cela pouvait être mal de faire ce genre de choses.
                      Il avait faim, alors il cherchait et s’il trouvait quelque chose, il le mangerait.
                      Simple et efficace, une façon de penser pouvant être comparable à un animal.

                      Le non-mort persista dans son crime pendant un moment, la pièce devenait de plus en plus un horrible capharnaüm, capable de faire pousser au propriétaire une gueulante si forte, qu’il ou elle en réveillerait des morts.
                      Ses recherches devinrent infructueux au fur et à mesure qu’il les prolongeaient, allant même jusqu’à trouver des bouts de tissus étrange avec un parfum qui lui était propre. Il humait une fois, deux fois, curieux de mettre le doigt sur le nom de cette trace.
                      La gardant en main, Ren utilisa l’autre pour poursuivre ses recherches tant bien que mal, espérant de trouver l’objet de sa quête le plus tôt possible.
                      vava
                      Aaliyah
                      groupe
                      Aaliyah marchait, un sac de course en papier cartonné sous le bras. Elle ondulait silencieusement sous le soleil, elle aimait bien Livingo c’était animé et elle n’avait pas besoin d’aller très loin pour faire ses courses. En parlant de ça, ses stocks de nourriture et d’alcool avaient fondues comme neige au soleil avec la venu du petit loup qu’elle avait accueilli quelques temps chez elle. Ce qui expliquait ses deux sacs. Elle s’arrêta chez son marchand de fruits et légumes préféré, juste en bas de chez elle, elle prit quelques petites choses et fini tout naturellement par se faire offrir une pomme dans laquelle elle mordit énergiquement. Elle soupira, jonglant agilement avec ses sac et ses vêtements déjà courts qu’elle ne pouvait pas réajuster.

                      Elle rentra dans son immeuble et jongla avec ses clefs. A l’entrée, elle se figea. Elle renifla l’air, et tendit l’oreille. Il y avait quelqu’un chez elle. Ses yeux s’éclaircirent du bleu le plus pale. Quelqu’un avait pénétré son intimité. Son territoire. Elle gronda, un son animal dans sa cage thoracique humaine. Cela pouvait paraître étrange. Mais la louve couvait sous la surface. Elle n’était pas égoïste, c’était chez elle. Elle ouvrit la porte avec une lenteur, et une douceur calculée. Le calme avant la tempête. Elle avança dans un silence presque religieux, beaucoup plus animal que ce qu’on aurait pu imaginer. Elle s’approcha. Il était dans son salon. Nu. Elle ne fit pas un bruit, sa respiration restait calme.

                      L’homme retournait son appartement à la recherche de quelques chose visiblement. Elle plissa les yeux et le renifla. Il avait une odeur de métal, de mort et de vie fraîche. Comme un courant d’air porteur de mort. Elle s’approcha derrière lui.

                      « Je te dérange ? »

                      Sa voix était particulièrement calme, il se retourna, elle lança sa jambe, l’homme se retrouva plaqué au mur un pied sur la gorge. Elle posa ses sac dans cette position qui aurait pu être inconfortable, si elle n’était ni forte, ni entraînée ni souple. Elle attrapa une pomme et croqua dedans avec un flegme qui tranchait avait la louve qui couvait dans ses yeux. Elle l’observa plus attentivement. Il avait des cheveux longs, c’était rare chez un homme, mais elle s’en fichait. Il était chez elle. La porte n’avait pas été fracturée et elle l’avait fermer à clef pour une fois. Elle regarda autour d’elle. Est-ce qu’il était passer par le balcon ?

                      Elle avala sa première bouchée de pomme et croqua de nouveau sans bouger de sa position. Elle pencha un peu la tête sur le côté. Est-ce que c’était sa culotte qu’il tenait dans la main ? Une culotte sale en plus. Elle fronça les sourcils. Elle n’avait pas pour habitude de juger les gens à poil, en l’état elle se demandait si elle n’avait pas un dégénéré en face d’elle. Elle eut un petit rire et lui fit un grand sourire qui dévoilait ses canines très légèrement proéminentes.

                      Elle avait entendue parler d’un pervers dans le quartier. Elle s’était dit naturellement qu’elle irait à sa recherche si ça continuait. Quelle chance d’être tombée sur lui comme ça. Elle renifla de nouveau l’air. Elle trouvait un peu étrange tout de même car il ne sentait pas le sexe ou l’excitation. Est-ce que ce n’était pas le propre des pervers ? Peu importait. Elle leva la main et fit sortir ses griffes en les observant comme si elles étaient particulièrement intéressantes.

                      « Tu n’as vraiment pas de chance d’être entré chez moi. Je n’aime pas trop qu’on entre dans mon territoire sans mon autorisation. Tu cherchais quelques choses peut-être ? »

                      Elle figea sa main et glissa de nouveau ses yeux loups dans les siens un sourire presque narquois sur le visage. C’était étonnant. La plupart du temps les gens réagissaient plus violemment à la vue de ses yeux. Elle était intriguée, énervée mais intriguée. Elle ne bougea que très peu de sa position, reculant d’un poil de cul son pied. Juste assez pour le laisser respirer et éventuellement répondre.

                      « Petite question comme ça, qu’est-ce que tu fous avec ma culotte dans la main ? »

                      C’était une question légitime. Qu’elle n’aurait certes jamais penser à poser. Toutefois, elle s’étonnait elle-même du calme avec lequel elle gérait la situation. Elle avait plus ou moins l’habitude d’exploser et de tuer. Le fait que ce soit sur son territoire devait plus la rendre curieuse, en plus elle était clairement dans une position de supériorité, elle pouvait se permettre de poser les questions avant d’agir.

                      Pour autant, elle jugeait qu’on n’était jamais trop prudent, et sous se calme apparent, la louve était prête à bondir, et l’écharper, et l’éviscérer au besoin. Elle pencha un peu la tête sur le côté, comportement lupin, les yeux avides de réponses, avide de savoir si elle devrait le tuer ou non. Elle frissonna exaltée et excitée à l’idée d’enfoncer ses griffes dans son joli petit cou blanc.
                      vava
                      Ren
                      groupe
                      Encore, encore et encore, ses mains s’agitèrent ici et là, continuant de chercher quelque chose à se mettre sous la dent. Si un habitant de ce monde auraient eu les mêmes intentions, il aurait déjà trouver depuis longtemps ne serais-ce qu’une pomme ou autre. Seulement, Ren n’était pas un natif, et encore moins un individu ayant reçu une éducation équivaut.
                      La culotte et le pendentif avec le cristal, étaient tout deux dans le creux de la même main, ne l’ayant pas quitter une seule seconde depuis son arriver.
                      Il ne savait pas pourquoi, mais cette objet mystérieux était sûrement lié à sa soudaine apparition, ce genre de raisonnement n’était pas conjoint à un raisonnement quelconque de sa part, mais par pur instinct. La faim lui cramponnait l’estomac tel un vers qui le dévorait de l’intérieur, insistant toujours à réussir dans sa quête.

                      C’est alors qu’elle apparu.


                      Une interrogation siffla dans l’air, surprenant le nouveau-né dans ses recherches.

                      ?!

                      Un violent coup de pied se logea au niveau de sa pomme d’Adan, le faisant valsé vers le mur avant de se coller contre le dernier, la botte appuyer contre son cou, l’empêchant de respirer.
                      Son regard se porta vers l’individu devant lui, jaugeant son physique.
                      Cheveux longs et blancs, un mètre soixante environ, des yeux bleus clairs, un visage fin et délicat, une tenue courte mais permettant d’avoir une plus grande souplesse de mouvements.
                      Ses mains se baladèrent de haut en bas, posant ce qui semblerait des sacs puis attrapa une pomme avant de se délecter de son met.
                      Le non-mort voyant cette action, ne fit rien, sachant mettre les priorités entre se nourrir et devoir se tenir prêt contre une possible tentative de meurtre.
                      Ses tripes lui indiquèrent qu’elle était entraînée et avait déjà tuée. 10 ? 100 ? Ce n’était pas utile, néanmoins, ses mouvements et sa capacité à être discrète démontrait de l’expérience et grand talent en elle.
                      Pouvait-il gagner ? Difficile à dire. Se battre contre un ennemi inconnu, dans un monde inconnu, possédant sûrement des capacités différentes à ceux de son monde, tout en étant affaiblit, n’était pas une mince affaire.
                      L’épée n’avait pas peur de la mort, il en été née après tout. Sa vie était de retourner servir son maître, ce genre de sentiments comme l’amour ou la peur n’avaient pas de place dans son coeur.
                      Non, avant tout, il ne les connaissait pas.

                      La main de son agresseur changea de forme, prenant une forme particulière.
                      Des griffes.
                      Des griffes remplaçaient ses doigts fin et délicat, comme s’ils n’avaient jamais exister en premier lieu.

                      « Tu n’as vraiment pas de chance d’être entré chez moi. Je n’aime pas trop qu’on entre dans mon territoire sans mon autorisation. Tu cherchais quelques choses peut-être ? »

                      Ses yeux furent les seconds à changés, l’iris prenant une forme plus imposante alors qu’un sourire se dessina sur ses lèvres.
                      Son pied arrêta de s’appuyer sur sa gorge, le laissant prendre une nouvelle gorgée d’air frais.
                      Était-ce du fait qu’elle se sentait supérieure dans cette situation, qu’elle avait l’avantage contre lui ? Le non-vivant ne le savait pas. L’épéiste ne savait pas lui-même pourquoi cette agression instantanée à son égard, pourtant, il était actuellement dans une situation délicate.
                      Dans son esprit, l’envie de se battre ne résidait pas, ni la peur de voir quelqu’un changer de forme, ni même l’envie de tuer.
                      Juste une simple interrogation.

                      « Petite question comme ça, qu’est-ce que tu fous avec ma culotte dans la main ? »

                      Culotte ? Ren se posa la question à son tour.
                      Il ouvrit cette dernière à son tour, pour voir le dit bout de tissus avec le pendentif qui vagabondait ici et là, accrocher au niveau de l’interstice entre ses doigts.
                      Était-ce ça une culotte ? Son regard exprimait son état mental. Perplexe, c’était l’état mental actuelle de l’épée. Ce monde était étrange à bien des égards et désormais, même les tenues et sous-vêtements différaient de ce qu’il connaissait.
                      Le non-mort baissa le regard, alors que son odorat lui joua des tours une nouvelle fois.
                      La trace du bout de tissus et de celle devant lui était la même, guidant son intellect sur une seule et même réponse.

                      - C’est à vous ? Il me semble que ce bout de tissus et votre odeur corporel sont les mêmes, donc je présume que ça soit le cas.

                      Le non-vivant lui tandis l’habit afin de calmer ses ardeurs, pensant qu’elle était en colère pour avoir prit sa propriété.
                      Il le tendit simplement, sans une once de violence ou de dédain, les yeux bleus / gris clairs conservant l’échange de regard entre lui et la louve.

                      - Néanmoins, je voudrais savoir pour quelle raison vous me menacez. Cette objet était si important pour vous ? Ce ne sont que des bouts de tissus aidant à recouvrir nos corps.

                      Le nouveau-né n’avait pas bouger un seul instant son regard de la personne en face de lui. Non par offense, ni par défis, il la scrutait. Les souvenirs de son maître exprimait le fait que l’on pouvait comprendre quelqu’un en le regardant dans les yeux, en cherchant ses désires et ses peurs au fond de la vision de l’autre.
                      Cependant, il avait une compréhension de l’autre nul, que ça soit sur le plan culturel ou émotionnel.
                      Ren jouissait d’un savoir basique, mais n’allait pas plus loin.

                      Tout ce qui l’importait en ce moment, était de satisfaire son estomac qui criait famine avec une plus grande force encore. Sa vue se planta alors vers les paquets, souhaitant se repaître dans les instants qui suit.
                      vava
                      Aaliyah
                      groupe
                      La love attrapa le bout de tissu en dentelle noir. Elle le fourra dans sa poche.

                      « Le soucis ne vient pas de ce bout de tissu, quoique cela puisse être suspect… Mais en effet, en fait, c’est normal. Puisque tu es chez moi.»

                      Elle soupira. Etait-il idiot ou juste attardé ? On aurait dit un enfant qui découvrait le principe même de possession ou de territoire. Elle grogna, et posa sa jambe sur le sol. Elle soupira, et après une analyse de l’homme en face d’elle elle soupira. Il possédait un crystal, qui pendait de sa main. Et il était à poil. Est-ce qu’il était nouveau dans les parages ? C’était tout de même un peu étrange qu’il soit chez elle. Elle soupira de nouveau et entendit son estomac grommeler.

                      « Est-ce que tu cherchais de la nourriture ? »

                      Elle fronça les sourcils et lui tendit une pomme qu’il attrapa sans se faire prier et croqua dedans. Elle en profita pour l’observer. Il n’était clairement pas de ce monde. Elle plissa un peu les yeux les bras croisés sur la poitrine. Il avait l’air de ne pas tout comprendre.

                      « Je ne suis pas en colère parce que tu as toucher à mes culottes… Enfin si, mais tu as retourner mon appartement. On ne rentre pas chez les gens comme ça. On ne touche pas aux affaires des gens comme ça. »

                      Elle renifla l’air, il semblait relativement propre elle se mit en recherche d’un jogging et d’un t-shirt qu’elle lui tendit.

                      « Enfile ça, je m’en fiche que tu te ballades à poil, mais ce ne serait pas le cas de tous les gens que tu croiseras. »

                      Elle commença à ranger ses courses. Elle lui jeta une deuxième pomme. Comme si une simple pomme pouvait ravitailler un estomac affamé. Elle soupira, et sortit un bouteille de rhum de son sac, qu’elle ouvrit. Elle n’avait pas prévu de boire aujourd’hui mais la vue de son appartement, habituellement si soigné dans un tel cafarnaum lui donnait envie de lui arracher la tête avec les dents. Elle but deux longues rasades de rhum. Elle ne savait pas ce qu’elle allait faire de lui. Il était clairement nouveau ici. Mais au final elle n’était pas mère Teresa. Elle n’avait pas pour vocation d’accueillir les moutons égarés.

                      Elle le détailla, il avait des longs cheveux, un visage assez agréable, sa peau était lisse, comme neuve. Elle-même était couverte d’un certains nombres de cicatrices, sa vie était particulièrement remuée, mais lui il sentait la morte et semblait si… Vivant. Et neuf. Il y avait un truc qui clochait.

                      Elle soupira et lui fit un sourire.

                      «Quel est ton nom ? Tu t’es introduit chez moi, j’aimerai apprendre à te connaître. »

                      Ce n’était pas faux, mais elle devait déterminer s’il était idiot ou s’il cherchait à la berner d’une manière ou d’une autre. Elle s’assit en tailleur sur sa table la bouteille à la main. Ses griffes avaient disparues, mais ses yeux le scrutaient, la louve le regardait l’analysait, elle n’avait rien vu de pareil depuis longtemps, il n’avait pas d’expression forte sur le visage, une odeur incohérente et un corps neuf. Physiquement il devait avoir entre 20 et 25 ans et pourtant il se comportait comme un enfant, ou un attardé. C’était peut-être un attardé, après tout qui était-elle pour juger ? Dans tous les cas, il était nouveau dans les parages et donc, elle ne pouvait même pas imaginer de quel genre de monde il venait et ce dont il était capable ou non.

                      Elle se leva et s’approcha de lui une main tendue, pour se présenter.

                      « Je m’appelle Aaliyah, je suis l’habitante de cet endroit que tu as magnifiquement saccagé. Est-ce que tu sais où tu es ? »

                      Elle comprenait que visiblement, elle n’était pas du tout la seule à débarquer comme ça. Est-ce qu’elle devait l’amener aux Jewelers ? Il n’avait rien fait de mal il ne serait sans doute pas interroger. Mais elle n’avait aucune envie de leur présenter quelqu’un dont elle ne savait rien. Et elle connaissait d’autres personnes… Enfin une en particulier qui serait absolument ravie de rencontrer un nouveau nez dans ce monde. Elle soupira. Il fallait qu’elle en apprenne plus avant de se faire son idée.
                      vava
                      Ren
                      groupe
                      La vie crée des situations parfois bien étrange, allant même crée des évènements si absurdes, que l’on se surprendrait à se dire : je n’y aurais pas penser, même dans mes rêves les plus fous.
                      Si un jour, vous racontez ou écoutez quelqu’un vous dire : je rentrais chez moi et j’ai trouvé un homme à poil, cherchant de la bouffe tout en tenant une de mes culottes dans sa main ; il y a beaucoup de chances que l’on, ou, que vous doutez de la véracité de ses dires.
                      Néanmoins, les possibilités n’étaient pas nuls et bien entendu, c’était exactement ce qui se passait en ce moment même.

                      La main tendu vers elle, la louve ne se fit pas prier pour reprendre ce qui lui appartenait de droit, se permettant au passage de pointé du doigt le fait que ce n’était pas l’objet qu’il tenait dans sa main un peu plus tôt qui provoquait son courroux, mais plus le fait d’être entré dans son territoire, son chez-soi.
                      Ren ne comprenait pas l’importance de la vie privée, ni même de ce que cela signifiait, néanmoins, il fit l’effort de retenir cette leçon.
                      L’épée était née pour servir son possesseur, cependant, cela ne l’empêchait pas d’apprendre ce qui pourrait l’aider à assister dans cette tâche.

                      La carnivore posa sa jambe, laissant le non-mort libre de ses mouvements tandis qu’elle lui donna une pomme sans crier gare.
                      Elle était verte, verte, et pleine de vie, l’odeur du fruit et du sucre remuait une énième fois la faim de l’anomalie.
                      Il la dévora à pleine dent, ni bout ni jus ne fut épargner, allant même dévoré la totalité du fruit, n’en laissant même pas pépins ou cœur.

                      *Gloups*

                      Un début de soulagement se répandit à travers son corps, pendant que la demoiselle lui fit un sermon sur le fait que ses actes étaient peu sympathique, « que l’on ne fait pas si ou pas ça ».
                      La lame écouta sans rien dire.
                      Il n’avait rien à dire. C’était « mal », et donc, ça provoquait le mécontentement.
                      Une chose simple, pourtant si compliqué pour un être comme lui, dont les notions comme le bien et le mal ou la place des émotions sont à apprendre. On lui avisa, il hocha la tête, retenant les mots, mais ne comprenant point le poids derrière.
                      Malgré sa compréhension nul, il retient la leçon à la lettre.
                      Ni plus, ni moins. Du début à la fin, l’idée même de contredire ou de la questionnée ne lui avait pas germé dans l’esprit.
                      Il n’est qu’un outil.

                      Elle lui tendit des vêtements, il les prit, écouta son conseil et let mit du mieux qu’il pouvait. Le bas allait encore, mais le haut n’était pas du tout à sa taille.
                      La corpulence du non-vivant était normal pour un individu dans son mètre 80 avec un  peu de musculature, mais bien trop petit pour lui.
                      Il tenta tant bien que mal de le mettre, réussissant avec effort à le porter alors qu’un léger **crac** se fit entendre.
                      L’avait-elle entendu ? Pas sur. Elle lui refila une nouvelle pomme qui eu le même destin que la première. Ça n’allait pas taire sa faim, mais c’était suffisant actuellement.

                      «Quel est ton nom ? Tu t’es introduit chez moi, j’aimerai apprendre à te connaître. »

                      Un nom ? Le jeune homme n’avait pas penser en avoir un, on ne donne pas de nom à chaque objet que l’on possède après tout, ils étaient crées, user et disposer quand leurs temps étaient révolus.
                      Un seul mot lui vint à l’esprit. Il ne savait pas d’où il venait, ni pourquoi il se trouvait ici.
                      Le nouveau née le jugeait familier, mais sans plus.

                      - Ren.

                      Il répondit calmement, ne cachant rien ni en donnant des excuses.
                      La jeune femme le scruta du regard pendant qu’il réagissait à sa demande avec ses yeux bleus carnassier. Ren conservait la même intensité du regard, ne critiquant rien, n’objectant rien, ses tripes l’aidait à jauger à son tour la personne devant lui.
                      Il savait qu’elle était une personne dangereuse, une personne capable d’ôter la vie avec grande facilité, mais à quel point ?
                      L’outil jaugeait les chances entre elle et lui par pur réflexe, alors qu’elle s’approcha de lui une nouvelle fois, lui tendant la main.

                      « Je m’appelle Aaliyah, je suis l’habitante de cet endroit que tu as magnifiquement saccagé. Est-ce que tu sais où tu es ? »

                      L’être tilta la tête sur le côté, se posant le pourquoi cette main tendue vers sa personne.
                      Il la tendit à son tour, lui attrapant le dos de la sienne, reproduisant les gestes de la louve.

                      - Pour tout vous dire, non. Cette objet dans ma main a brillé lorsque je le tenais, puis après ceci, le blanc et le sommeil. Savez-vous où je suis ? Pourquoi des carrioles en fer sont poussés sans chevaux ? Ou que ces édifices sont si différents de ceux que je connais ?

                      L’homme devant Aaliyah n’avait pas de temps à perdre, pas d’amitié à forger, de prendre une pause coca-vodka devant un match de foot ou regarder les étoiles avec un jambon-beurre, il devait partir et rejoindre celui qui lui avait donner vie.
                      C’était sa seule raison de vivre, servir son ancien détenteur.

                      - Les habitants de ces lieux s’habille différemment de ce que je connais. Vous et eux, parlez une langue inconnue, mais j’arrive quand même à vous comprendre. Les femmes marchent côte à côte avec les hommes, au lieu d’être 3 pas derrière eux. L’énergie spirituel de ce lieu est beaucoup plus fort que d’où je venais, mais certains la maîtrise d’une façon différente que je connais, générant feu et eau, vent et foudre, malgré le fait de ne pas être des bêtes démoniaques.

                      Le jeune homme se déplaça vers la fenêtre tandis qu’il parlait, très curieux de voir comment le monde se déroulait en bas.
                      Tout était si éloigné, la mémoire de son propriétaire lui envoyait des flash d’images de personnes avec des traits asiatiques au lieu d’occidentaux, des pagodes et des maisons en tuile au lieu de grands bâtiments atteignant les cieux.
                      L’épée était perdu, curieux et prit de court.
                      Rien n’était identique, un monde différent s’étalait devant lui.
                      vava
                      Aaliyah
                      groupe
                      La louve regarda l’homme s’habiller. Le pantalon lui allait assez large, c’était une autre paire de manche pour le t-shirt qui le moulait. Elle tira une grimace. Elle ne s’excusa pas, après tout elle lui avait donner à manger et puis des vêtement, alors elle n’allait pas en plus s’excuser que les vêtements ne soient pas à sa taille. Bordel non elle n’allait pas s’en excuser. Elle commença à ranger ses courses, poussant du pied pour les rabattre contre les murs les affaires que l’homme qui s’appelait apparemment Ren, avait tout bonnement fait voler dans toute la pièce.

                      Il n’avait pas réagit à ce qu’elle avait dit. Il avait même l’air plutôt d’accord avec ce qu’elle disait. Elle vida un trait d’alcool et referma la bouteille en la mettant sur le côté. Elle sortit de la viande et se retourna vers lui. Elle ne le connaissait pas, mais elle avait toujours appris à nourrir et partager sa nourriture avec ceux qui avaient faim. La faim. C’était un sentiment qu’elle connaissait bien, elle ne pouvait pas le blâmer d’être vivant. Malgré qu’il porte cette drôle d’odeur de mort et de vie mêlée. Elle commença à faire cuir la viande, en l’écoutant parler.

                      « Bienvenue sur Akerys Ren. Je sais que tout cela peut-être perturbant. Tu as atterrit sur une nouvelle planète. »

                      Elle retourna la viande et s’approcha de lui, sortant le lourd crystal qui pendant entre ses seins, de sous son débardeur et lui montra le joyeux transparent.

                      « Je ne suis pas d’ici non plus. Ces boîtes dont tu parles sont des sortes de voitures, sauf qu’au lieu d’être tirer par des cheveux, elle sont magiques, et volent. Et tu devrai éviter de dire aux femmes qu’elles devraient marcher trois pas derrière toi si tu veux éviter de te faire botter le cul. Les gens ici sont des magiciens. Tu dois être sensible à la magie puisque tu as remarquer que cet endroit en est infester. »

                      Elle se retourna de nouveau vers la nourriture. Il n’avait pas l’air méchant, ni même méfiant. Elle pela des patates, qu’elle fit revenir dans le jus de la viande. Cet homme portait une coiffure qui lui disait quelques choses. Elle fronçait les sourcils, cela lui rappelait une époque assez féodale. Peut-être… Il ne devait pas savoir ce qu’il foutait là, et elle était prête à parier que tout ce qu’elle lui dirait sortirait de son champs de connaissance. Il ressemblait à un enfant dans une magasin de bonbons, beaucoup d’informations à traiter en même temps, et trop de choses à faire avant de se décider à comment se comporter.

                      Après quelques longues minutes où elle maintint un certain silence, plongée dans ses pensées, elle lui tendit une assiette aussi garnie que la sienne, qui menaçait de déborder et de s’affaisser. Elle posa les assiettes sur la table et lui tendit des couverts. Il sembla étonné de ce qu’elle lui tendait. Est-ce qu’il avait déjà manger avec des couverts ? Elle Lui montra en tranchant avec le couteau la viande et en piquant avec la fourchette ensuite. Le repas avait toujours été un moment assez cérémonial pour qu’elle n’ouvre pas la bouche pendant celui-ci. Elle aimait se concentrer sur la tâche de remplir son estomac. La louve grogna, ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas manger avec un parfait inconnu.

                      Elle pouffa, c’était faux, le louveteau qu’elle avait accueillie chez elle avait été un parfait inconnu, mais c’était très différent, elle soupira. Il y avait beaucoup trop de gens qui passaient chez elle. Pour la plupart c’était volontaire, pour ce visiteur là, elle ne savait pas trop comment réagir. Elle restait prudente, mais il n’avait pas l’air hostile, en plus de ça, elle n’avait pas pour habitude de tuer sur son territoire sans une bonne raison. Le sang laissait une odeur désagréable et dur à enlever sur le parquet.

                      Une fois son assiette parfaitement vide, elle tapota son ventre d’un air satisfait et tout sauf gracieux. Elle soupira d’aise. La louve leva les yeux vers son invité impromptu et avec un sourire de travers lui lança sans préambule.

                      « Bon, et si on passait aux choses sérieuses maintenant Ren ? »

                      Elle se leva, débarrassa la table et s’étira. Ses yeux s’éclaircirent lorsqu’elle se retourna vers lui.

                      « Tu l’a peut-être compris, tu es bloqué dans un monde qui n’est pas le tien, sur une planète inconnue, et actuellement tu es chez moi, et je ne connais pas l’odeur que tu dégages, maintenant que tu as manger, j’aimerai bien savoir. Qu’est-ce que tu es ? Qui es-tu ? Que veux-tu ? Et surtout, est-ce que tu es une menace ? »

                      Elle lui fit un large sourire, lorsque ses yeux reflétaient, la louve qui fixait son attention pleine et entière sur lui. Au final elle n’avait eu que très peu de réponse. En général les gens commençaient par se présenter. Il semblait faire de la rétention d’informations, ou ne pas comprendre ce qu’elle demandait, et pourtant c’était assez simple. Il semblait vraiment paumé, mais même si elle pouvait renifler un mensonge à deux kilomètres à la ronde, eh bien elle avait déjà rencontrer des gens qui savaient contrôler leur pouls et qui ne stressaient pas en racontant des bobards. Et elle n’avait aucune confiance en ce qu’elle ne connaissait pas, surtout quand ces choses n’avaient rien de logique, ou surtout quand ces choses retournaient son appartement. S’il s’avérait qu’il était bel et bien vierge comme l’enfant qui vient de naître, elle l’emmènerait à Greed. Il aurait certainement de bonnes idées pour conduire l’agneau égaré.
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