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                      Le temps d'une pause

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                      vava
                      Felix Sotiras
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                      「 Le temps d'une pause 」


                      Les perles transparentes glissées le long des feuilles pour tomber sur le sol avec un petit bruit sourd et apaisant. Cette petite rivière, coulant calmement sous les arbres, semblait me demander sa compagnie. Je sais pas pourquoi, dans ces bois, je me sens à ma place. C'est surement dut au fait que la nature est consciente ici. J'ai déjà entendu parler de ces créatures, les Yggdras, capable de défendre la forêt quand elle est en danger. Puis, il y a aussi ces murmures incompréhensible. La première fois ça m'avait surpris, mais avec le temps, j'ai appris que cela était lié à mon instinct de druide. Les arbres de ce monde parle. Je n'ai aucune idée de ce qu'il raconte, je ne suis pas vraiment un druide au fond, mais je suis capable de dire que ce sont les élément naturels qui communiques entre eux.

                      Ce n'étais pas la première fois que je venait ici. Je venait même assez régulièrement afin de vider mon mana en trop. Altéré par le cœur des dryade, ce dernier devenait très positif pour la nature. Le relâcher sous terre dans une forêt avait la capacité de revitaliser la forêt. Au début, je le faisait en Nefyria, mais quand j’eus fit face à des monstres qui manquèrent de me faire découvrir, je décidais de ne plus y mettre un pied. A la place, lorsque j'appris la nature de ces lieux, je compris que mon mana serais mieux vider en ces liens. Depuis, chaque fois que je viens dans cette forêt, je vide une énorme quantité de mana druidique en son sein. Je ne comprend toujours pas les murmures de la nature, mais je comprend les signes. Vous n'avais pas idée de la gratitude d'une nature consciente. que se soit des fruits tombant près de moi, étrangement intact, des petites parcelle caché que je trouve "par hasard" comportant des plantes rares que certain Val'ka n'ont jamais eu la chance de voir, ou tout autre petit bénéfice. La nature en ce monde est cruelle parce que ses habitant la traite mal. Mais je suis la preuve qu'en la traitant avec amour, elle le rend.

                      Mais revenons à ce jours de pluie. J'avais, comme à mon habitude, vidée une grosse dose d'énergie druidique dans cette forêt, et, comme par hasard, j'avais trouvé une source d'eau pure, ou nageait une algue délicate. Sachant que ceci était un cadeau de la forêt, je me permit de faire quelque petit test. Ainsi, après quelque minutes d'expérimentation, je compris ce qu'était ce cadeau : une eau au propriété médicinale. Pas par magie cependant, mais par principe de distillation : en effet, les algues au fond de l'eau devait convertir par un procédé biologique complexe les molécules présente dans l'eau et les changer pour en faire de nouvelle, donnant à cette eau des propriété apaisante. J'en pris deux bouteille de deux litres que je remis dans mon trou dimensionnel avant de repartir, laissant la source à sa paisible existence. Avec cette eau, je pourrais confectionner des potions d'une qualité supérieure, ce qui devrait me rapporter gros. J'avais aussi prit quelques algues, une poignée. Après en avoir gouter une, je m'étais rendu compte que mon mana c’était un peu exciter, comme si je venais de le booster. Peut-être qu'a force de lui déverser du mana, la forêt de Va'Ygg avait appris à l'utiliser. Ou peut-être étais-ce une réaction bio-magique de mon corps. En tout cas, je pourrais surement faire une potion intéressante avec ces plantes.

                      Ainsi, après avoir reprit mon gros sac, je continuait à me déplacer en direction de la sortie de la forêt, tout en suivant le cours de cette petite rivière. Je n'étais pas presser, la pluie tomber délicatement et apaiser aussi bien mon corps que mon esprit. rien ne pouvais gâcher ce moment.... en fait si, le fait que je marche le gâcher. Je me posé donc sur l'herbe bien verdi après mon passage, puis je laisser l'eau tomber doucement sur moi. Les feuilles empêchaient la majorité des goutes de tomber au sol, donc ce dernier était juste humide, pas boueux. C'était tel un petit matelas de verdure. Ma vie aurait put s'arrêter là.

                      vava
                      Aila'Ra
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                      Le Temps d'une pause



                      -Tu veux trop reproduire à l'identique ce que tu vois ! Ce n'est pas bon ! Les choses que ton père ou moi même t'apprenons, ce ne doit être que des bases à tes propres techniques !

                      Ces mots prononcé par la défunte meilleure amie de la jumelle résonnait aujourd'hui dans son esprit bien plus fort qu'à l'époque. Maintenant qu'elle venait de quitter l'enceinte protecteur de Kal'Dnir elle devait faire sienne la force nouvelle qu'elle avait aquis là-bas. Aujourd'hui ses mots que lui avait prononcés Emi'Rilis, elle les avait finalement compris, mais la mise en pratique ce retrouvait être beaucoup plus compliqué qu'elle ne le pensait...

                      Nerv'Arka, la saison des pluies, s'approchait dangereusement à Val. Comme chaque année, la lourde période de chaleur allait progressivement faire place à des pluies fortes et soudaines. Heureusement, ces jours-ci elles étaient encore calme et elles apprenaient à Aila'Ra à user de son don dans ses conditions climatique défavorable qui avait tendance à la fatiguer rapidement.

                      Chez les Val'Ka, chaque clan avait sa propre vision de cette période et du pourquoi leur monde leur là imposait. Chez le peuple d'Aila'Ra, ont disait que c'était durant cette période que Val pleurait les Val'Ka disparuent... Comme pour compenser le fait que les locaux voyait les larmes comme un signe de faiblaisse, s'interdisant d'exprimer ce genre d'émotion, le monde lui même pleurait à leur place chaque année.

                      La lame noire de notre héroine filait dans le gresiment des larmes de pluies qui sévaporaient presque immédiatement au contacte de celle-ci. Comme à son habitude, la Dévoreuse des flammes s'entrainait dure et elle avait la désagréable impression qu'elle n'avait fait aucun progré depuis le jour ou elle et Geleerde c'était séparé.

                      Epuisé physiquement et mentalement, la jumelle s'en allait se mettre à l'abris sous le feuillage d'un arbre voisin qui se trouvait à la lisière de la mystique forêt de Va'Ygg. Profitant de ce moment de répis pour ce restaurer, le regard vairon de la jeune femme fut attirer par un bébé Tyrg entièrement blanc, aux yeux rouge sang. Le fauve était tout petit et semblait s'être un peu égaré, remarquant la présence de la Val'Ka en même temps qu'elle même le remarquait. Jetant un oeil autour d'elle afin de vérifier que personne ne ce trouvait dans les alentours, les mauvaises habitudes de la jeune femme ne pouvait que refaire surface : il fallait qu'elle observe cette boule de poile de plus prêt !

                      Adorant la faune de Val depuis son plus jeune âge, elle avait dût mettre cette passion de côté pour ce concentrer sur son entraînement, mais maintenant que sa tribue avait disparu... Elle pouvait bien ce permettre quelques écarts. Deplus voir un si jeune Tyrg seul, au milieu de nul part,, l'inqiétait... Ses frères et soeurs n'étant pas connu pour faire beaucoup d'état d'âme vis-à-vis de la nature local... S'enfonçant dans ses bois millénaire, Aila'Ra fini par perdre la trâce de la petite boule de poile, s'égarant elle même par la même occasion.

                      Avançant au hasard, sa main posé sur la garde de sa lame, Aila'Ra entendait nombres de cris et de bruits étrange autour d'elle... Certains résonnant même tel des murmures aux oreilles de la Val'Ka... Bientôt, elle débarquait dans une sorte de clairière traversé par une petite rivière. Dans l'herbe, elle remarquait un homme étrange allongé dans l'herbe comme si ne rien n'était.

                      Un bandit? Un barconnier?! Aila'Ra execré ses derniers et elle n'hésiterait pas longtemps à lui arracher les parties génital pour les lui faire déguster si il s'avérait être un de ses chasseurs sans scrupule. Scrutant les alentours furtivement, la jeune femme ne remarquait aucun piège, ni âme. Intrigué, et perdue, elle s'approchait de l'homme jusqu'à ce retrouvait au dessus de lui. Sa longue chevelure rousse goutant sur le visage de celui qui ce trouvait en dessous alors qu'elle lui adressait ses quelques mots, sa main toujours posé sur la garde de l'arme qu'elle portait à la ceinture.

                      -Tu t'es perdu, l'ami?



                      Dernière édition par Aila'Ra le Sam 14 Mar 2020 - 9:50, édité 1 fois
                      vava
                      Felix Sotiras
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                      「 Le temps d'une pause 」


                      Le temps d'une pause, j'avais déjà presque oublié le monde qui m'entourait, mes responsabilités. Je me fichais bien de savoir quand je me lèverais. La seule chose qui m'importait, c'est le plaisir éphémère que je vivait en cet instant. Je pensais, de manière nostalgique à tout ces moments passé en solitaire, à me battre contre des créatures si puissantes, si terrifiantes... et me voilà, là, à observer le vide. Etrange sensation que cette solitude éphémère mes plaisante. Ou plutôt l'illusion d'une solitude. Parce qu'autour de moi, les arbres continuait à murmurait. Des mots incompréhensibles, des mots hors de ma porté. Pourtant, il y avait une espèce de ton... curieux. Presque surpris. Comme si la nature venait de voir une chose hors du commun peut-être avais-je donner trop de mana ce jours-là et que la fatigue me fit croire des choses, mais je suis presque sur d'avoir entendue un sourire. Oui, je sais, ça n'a pas de sens, on n'entant pas les sourires. Mais j'ai ce son dans ma tête. Celle d'un sourire.

                      Je n'étais pas au bout de mes surprises : aussi surprenamment que ce petit sourire, une voix et des perles d'eau dégoulinant d'une tignasse rousse me surpris. Elle semblait curieuse, me demandant ce que je faisais ici.

                      Pose-toi là, le dos contre la verdure, ton visage vers le ciel.

                      Je ne dit rien d'autre. Je la laisser s’exécuter, à son rythme le nez toujours vers les cieux. Puis lorsqu'elle fut assez détendue, j'attendis à nouveau quelques minutes de silence avant de le briser à nouveau.

                      Tu sais, cette forêt est vivante. Tu ne l'entend peut-être pas, mais elle parle. Les arbres discutent, il se raconte leur existence, les dernière nouvelle, ils rient ensemble, ils pleurent ensemble, il chante même parfois.

                      Je tendis ma main vers le ciel, ouverte, la paume vers le bleu.

                      Lors des jours de pluie comme aujourd'hui, la forêt est particulièrement loquace. Parfois, même un non-initié peu entendre leur contes. On ne peut les comprendre, mais il sont comme un vent doux qui caresse l'esprit avec une gentillesse infinie.

                      Ma mains, face à la pluie, avait reçut quelque goute qui avait réussit à passer le piège de feuille séparant nos corps des nuages. Je la refermé délicatement

                      Nous, Val'Kas, nous sommes fort. Nous avons dompté la terre, les eaux et en certain lieu les mers. Mais la forêt est le seul lieu qui n’eus pas subit notre présence.

                      Je reposais ma main à même le sol, laissant coulé les quelque goute au creux de ma main sur le sol.

                      L'on dit qu'en Val, tout veut notre mort. Mais pourtant, quand on prend le temps d'écouter la forêt, la seule chose que l'on entend, c'est la vie.

                      Je me tue à nouveau, laissant un nouveau silence, le temps que le la forêts puissent au moins entrer dans les oreilles de la femmes par ces bruit de feuilles et d'eau. Puis, d'une manière très acrobatique, je me relevais d'un coup. Je me dépoussiérais un peu et, dos à elle, je commençais ma présentation.

                      Je suis un marchand, je refaisais mon stock d'herbe médicinale avant de partir sur les marchés afin de les vendre. Je profitais juste de l'air de saison.

                      Puis, me retournant simplement, je lui fit un petit sourire simple, tout en lui tendant la main, l'invitant à l'aider à ce relever.

                      Je m’appelle Val'Kako. Et toi, tu fais quoi en ces lieux ?

                      vava
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                      Le Temps d'une pause




                      Cet homme était vraiment étrange aux yeux de notre survivante. Allongé dans l'herbe sous la pluie fine qui s'abattait en ce moment même, bien qu'atténué par l'épais feuillage des arbres alentours, l'étranger ne bougeait pas d'un pouce malgré l'arrivé d'Aila'Ra, lui demandant simplement de venir s'allonger à ses côtés.

                      Sa voix était calme et particulièrement douce, dénuée de la moindre étincelle d'agressivité et résonnant d'une mystérieuse sagesse. Étrangement, les craintes de notre amie s'était partiellement atténué, si bien qu'elle s'exécutait sans ronchonner, s'allongeant aux côtés de l'homme en posant sa lame à ses côtés, en oubliant même le pourquoi elle c'était aventuré aussi loin dans la forêt. Le regard en direction du ciel, cet endroit qui lui avait été souvent décrit comme maudit et interdit lui apparaissait comme respirant un calme et une envie d'harmonie qui la mettait à l'aise. Après quelques minutes de silence, l'homme en vint à reprendre la parole, disant quelques mots d'une façon énigmatique, voir philosophique sur la nature de cet endroit et sa façon de la voir.

                      La main vers le ciel, l'homme poursuivit encore son récit alors que la Dévoreuse ce tournait vers lui, une mèche rebelle de sa longue chevelure rousse tombant sur son visage. Selon l'étranger, la forêt où ils se trouvaient serait vivante, respirant et vivant au jour le jour des joies et des peines diverses, riant et pleurant au fil des jours et du hasard. Invitant notre amie à écouter le chant de la nature, Aila'Ra s'exécutait après avoir vérifié que l'homme ne l'observait pas, comme honteuse d'écouter un illuminé osant prétendre que Val ne serait pas aussi meurtrière que les Anciens le prétendaient depuis l'aube des temps... Aussi étrange que cela pouvait paraître pour le peuple de Val, Aila'Ra était, depuis longtemps, d'accord avec cet état d'esprit.

                      Dans son enfance, il n'était pas rare qu'elle quitte le campement qui l'avait vu naître afin d'aller voir la faune de Val qui l'intriguait tant. Et ce qu'elle avait pus voir n'était pas les créatures meurtrières sans foi ni loi que l'on lui avait décris, mais juste des mères et des pères s'occupant de leurs petits malgré les dangers qui les entouraient.

                      Fermant les yeux, callant sa respiration sur le vent qui soufflait entre les bois de la forêt, notre héroïne se laissait guider en douceur par le calme qui régnait dans la forêt et bien qu'elle n'entendait pas la voix que prétendait entendre l'homme, elle devait bien admettre que l'endroit n'était pas aussi maléfique et sanguinaire qu'elle l'avait entendu dire par les Val'Ka vivant de par le Val'Mar. Au contraire, ces bois étaient calmes, vivant... Maison de mille et une famille animale, cherchant à les protéger des intrus mal attentionné...

                      Un sourire se dessinait sur le visage de la Val'Ka lorsqu'elle entendit l'homme se relever ce qui la sortit de sa torpeur alors qu'il se présentait comme un simple marchand du nom de Val'Kako. Ce redressant également, sans mouvement de gymnaste, mais comme le ferait un Val'Ka normal, en dépoussiérait également sa tunique en raccrochant sa lame à sa ceinture.

                      -Tu te trompes, Val'Kako. Ma tribu ma toujours appris que les Val'Ka et Val était dans une guerre permanente. Nous n'avons pas dompté cette terre et elle nous le prouve chaque jour... Elle l'a prouvé à ma tribu en démontrant que ses bêtes pouvaient raser mon village en une demi-journée... Disait-elle d'un ton un peu sec et triste, avant d'adresser un sourire à son interlocuteur. Mais je suis d'accord avec toi. Val n'est pas notre ennemi pour autant, elle ce défend autant que nous. Et elle n'est pas responsable de tous nos malheurs, je le sais au plus profond de moi.

                      Retournant alors la question de notre amie, Val'Kako vint à lui demander ce qu'elle était venu faire ici, ce qui rappelait à notre amie à la réalité, le visage perdu du Tyrg lui revenant immédiatement en mémoire. Jetant un coup d'œil vif autour d'elle, elle répondait enfin, énergiquement, à l'interrogation du marchand.

                      -Un enfant Tyrg blanc ! Il semblait complètement perdu et apeuré, je l'ai vu à la lisière de la forêt. Sa petite mine ma fait un pincement au cœur, alors je l'ai suivis, car j'avais peur qu'il ne lui arrive quelque chose et je me suis perdu... Tu ne l'aurais pas vu ? Ah, et je m'appelle Aila'Ra.


                      vava
                      Felix Sotiras
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                      「 Le temps d'une pause 」


                      Suivant mes conseils, la guerrière sembla comme apaisé. Comme si en un instant, je venait d'atteindre son âme. Cependant, dès que je me relevais et lui indiquait de faire de même, elle s’exécuta, de manière plus lente que moi, prenant le temps de bien faire les choses. Elle me surpris en affirmant que les Val'kas étaient en guerre contre le Val. Enfin, je le savait déjà. Je pensait alors que je ne l'avait pas assez atteinte. Au final, comme tout Val'Ka, elle semblait mettre sa tribus avant les erreurs du passé... que j’eus crut. La suite de sa phrase, avec son sourire charmant, me décrocha un sourire à mon tour. Elle était l'antithèse de Yharim : une femme qui avait perdue tout mais qui avait accepté. qui avait accepté et allé de l'avant. C'était rafraichissant.

                      Une telle vérité mérite d’exister au sein de ton être, guerrière. N'oublie jamais que le mal nait de l'ignorance, et que le bien est créer par l’acceptation.

                      Elle n'aurait surement aucune idée de ce dont je parle. Mais au fond, je savait qu'elle retiendrait peut-être l'idée.


                      Elle réagit alors au quart de tour lorsque je lui demandais la raison de sa présence. Comme quoi elle avait suivit un Tyrg dont elle aurait perdue la trace. Puis, elle m'indiqua son nom. Tout cela dit, je me gratté le menton et répondit avec franchise.

                      Je n'ai pas croisée un tel animal depuis que je suis ici, désolé. Cependant.

                      Je plaçais mon doigt sur ma bouche tandis qu'une nouvelle fois, je laissé la forêt me parlé. Les gouttes de pluie se faisait entendre tout autour de nous. Je fermais mes yeux tandis que j’entendais maintenant le bruit des feuilles se frottant les unes aux autres. Puis, soudain, un bruit étrange. Comme si on avait ouvert un robinet. Je rouvris mes yeux et dirigeais mon regard vers ce lieu étrange. Là, je vis un petit filet d'eau tombant depuis le haut des arbres.

                      Il semblerait que la forêt sache où il est allé. Je t'accompagne !

                      Je m'imposais un peu, mais en même temps, je ne pense pas que ça la gênerait. ça se voyait que je connaissait ces bois, et qu'ils me connaissaient aussi. Avec mon aide, et celle de la forêt, elle pourrais facilement retrouver le petit. Et si jamais elle avait des mauvaise intention, la forêt avait assez confiance en ma puissance pour continuer à me guider.

                      Allons-y !

                      Dis-je, dans un ton des plus enjoué.

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